Appui pour les baraquements
Petit bâtiment avant
Petit bâtiment après nettoyage
Le trou, espèce de cave, début de nettoyage
Le trou une fois néttoyé, maintenant nous espérons retrouver des témoignages
Petit bâtiment avant
Petit bâtiment après nettoyage
Le trou, espèce de cave, début de nettoyage
Le trou une fois néttoyé, maintenant nous espérons retrouver des témoignages
ont participé au nettoyage: Serge TARDY, Brigitte BIROCHEAU-HUCTEAU, Christian, Eric, Sébastien, Léon, Dylan BIROCHEAU - Merci
Le toit de la chapelle du camp tel que nous l'avons trouvé dans un poulailler. Il avait été mis là en 1948 lors du démantellement du camp. L'association l'a récupéré pour le sauvegarder.
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RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog. (un exemple même de liberté d'expression :D )
RépondreSupprimerhttps://www.facebook.com/pages/Prin-Deyran%C3%A7on/139368586211469?fref=photo (bientôt le film sur le camp )
RépondreSupprimerOn ne trouve pas d'Archives sur le camp de Prisonniers de Prin-Deyrançon et pour cause... La ville de Niort à été libérée par la Résistance qui est entrée la première dans le funeste siège de la Gestapo rue Alsace Lorraine et qui a mis la main sur les Archives dont certaines n'avaient pas été détruites (y figuraient notamment de nombreuses lettres de dénonciation...) ces dernières ont donc été conservées par des personnes privées . Quand aux habitants de Prin ils ont fait disparaitre toute traces de cet épisode peut reluisant de l'histoire du village. Il est à noter qu'à Prin existait une active collaboration avec l'occupant, a tel point que lorsque les FFI ont pris le contrôle du camp pour y interner à leur tour les militaires du régime nazi, des habitants du village en ont aidé certains ( des SS ) à s'évader en leur fournissant des uniformes de militaire Français !! ainsi peut on lire selon Pérruchon, que le camp Prin-Deyrançon se signala par un nombre important d'évasion dans des circonstances qui montraient à l'évidence des complicités françaises. En effet les prisonniers allemands évadés de ce camp étaient retrouvés avec des costumes civils ou bien avec des vêtements couleur kaki, expression pudique pour ne pas avoir à dire qu'on leur fournissait des uniformes militaires.
RépondreSupprimerUne enquête de Gendarmerie fut donc diligentée par la brigade de Gendarmerie de Mauzé sur le Mignon, qui se présenta à l'entrée du camp le 26 mars 1946 au matin et qui se virent refuser l'entrée du camp par un sous-officier.
L'après-midi ils furent reçus par un lieutenant qui leur confirma que trois soldats SS étaient portés disparus depuis le 21 mars. Ces hommes se seraient évadés dans la nuit entre 21H et 7H du matin. Les gendarmes poursuivant leur enquête apprirent dans le village qu'une huitaine de jours plutôt que 5 prisonniers habillés en officiers français avaient tenté de s'évader.
De nombreux habitants du village dénonçaient le laxisme qui régnait dans ce camp et la rumeur publique accusait la maîtresse du commandant du dépôt de complicité active dans ces évasions.
Les "appuis" pour les baraquements s'appellent des fondations ...
RépondreSupprimerle "petit bâtiment " est l'ancien local poubelles du camp et le trou une ancienne cave ...
RépondreSupprimerhttps://www.facebook.com/nwtvi/videos/484685281868100/
RépondreSupprimerLien vers le film sur le camp de Prisonniers de Prin (avec de nombreux témoignages de personnes ayants vécus cette période)
Concernant votre publication sur le garage AUDE notez qu'il faisait bien la mécanique essence et diésel mais qu'il n'y a jamais eu de station service et de pompes à essence à PRIN .....
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